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Archive for the ‘Cyberpunk’ Category

Le Samouraï virtuel — Neal Stephenson

Le Samouraï virtuel
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Titre : Le Samouraï virtuel (Snow Crash)
Auteur : Neal Stephenson
Traduction : Guy Abadia
ISBN : 2253072214 / 978-2-25-307221-8
Livre de poche / 569 pages

Quatrième de couverture :

Hiro Protagoniste est le plus grand sabreur du monde, dans l’univers réel et dans le Métavers virtuel. Il livre aussi des pizzas pour le compte de la branche commerciale de la Mafia. Y.T., 15 ans, blonde, plutôt du genre dégourdi, voire redoutable, transporte sur sa planche à roulettes version rapide tout ce qu’on veut bien lui confier. Quand ces deux-là se retrouvent, sous l’oeil de l’oncle Enzo, parrain suprême, pour lutter contre une drogue qui fonctionne à la fois dans la réalité virtuelle et dans l’univers réel, cela promet des étincelles. Une vision désopilante et terrifiante du proche avenir, réel et virtuel, qui a reçu le Grand Prix de l’imaginaire et le Prix Ozone en 1997, par Neal Stephenson, Prix Hugo, pour L’Age de diamant, publié dans la même collection.

Mon commentaire :

Neal Stephenson décrit très bien un monde virtuel, à se demander si Second Life n’a pas été inventé suite à la lecture de se livre.
Un livre que je finirai pas de lire. Bien qu’intéressant je n’accroche pas, les passages sont long et l’histoire n’est pas très facile à suivre, un peu confuse. Dommage

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Éon — Greg Bear

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Titre : Éon
Auteur : Greg Bear
Traduction : Guy Abadia
ISBN : 2253071625 / 978-2-25-307162-4
Livre de poche / 664 pages

Quatrième de couverture :

Le Caillou semble être un astéroïde entré par accident au début du XXIe siècle dans notre système solaire. Mais lorsqu’il vient se placer en orbite autour de la Terre, les Russes et les Américains doivent se rendre à l’évidence. Il s’agit d’un vaisseau spatial interstellaire de trois cents kilomètres de long. Les sept chambres immenses qu’il recèle abritent des villes entières. Désertes. Mais pleines de merveilles technologiques et de bibliothèques contenant des livres d’histoire, rédigés dans toutes les langues de la Terre, qui décrivent un avenir terrifiant, Où sont passés les habitants du Caillou ? Où conduit la dernière chambre qui semble avoir une profondeur infinie ?

Mon commentaire :

Un superbe livre qui décrit une histoire qui passe du possible au début du livre à la science fiction total à la fin.
Une histoire dont on ne pas trop parler sans risquer d’en dire trop.
Mon seul regret concerne une partie de la fin du livre ou il n’y a de place que pour des termes tiré de la science fiction ce qui la rend difficilement compréhensible.

Tomorrow’s parties — William Gibson

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Titre : Tomorrow’s parties (All Tomorrow’s Parties)
Auteur : William Gibson
Traduction : Philippe Rouard
ISBN : 2290325619 / 978-2-29-032561-2
J’ai lu / 318 pages

Quatrième de couverture :

Dans un futur proche déglingué, où le développement technologique a précipité au ban de la société toute une faune interlope. Depuis la cité de cartons nichée sous le métro de Tokyo, Colin Laney, grâce à une substance appelée le 5-SB, a le pouvoir de s’immerger dans les flux de données transitant sur la toile, un pouvoir qui lui permet de déchiffrer intuitivement les événements en devenir. Cependant, un inconnu hante sa configuration nodale et tue des innocents. Or voici que Laney découvre que quelque chose de crucial se prépare à San Francisco. Trop faible pour contrôler pleinement la situation, il y envoie Rydell, un ancien flic, en mission secrète…

Mon commentaire :

Suite à des essais cliniques, un homme est capable de “deviner” les moments et endroit ou se passeront les prochains changements historique.
Un livre ou l’on suit la même histoire à travers plusieurs personnages qui se croisent (livre à trois voix), pour des raisons qui restent obscure, vers la fin du livre (on retrouve là un principe proche de celui mis en ouvre dans Identification des schémas. Les 100 premières pages sont terriblement ennuyeuses, une intrigue prend enfin forme vers le milieu du livre. La fin est quand a elle sans intérêt.
Un livre où il n’y a que vaguement une histoire à laquelle je n’ai pas du tout accroché.

Plasma — Walter Jon Williams

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Titre : Plasma (Metropolitan)
Auteur : Walter Jon Williams
Traduction : Guy Abadia
ISBN : 2290324965 / 978-2-29-032496-7
J’ai lu / 382 pages

Quatrième de couverture :

Sur une terre convertie en gigantesque mégapole, retenue prisonnière par un immense Bouclier, où la science s’est effacée, au profit d’une magie omniprésente… Sur une Terre divisée en castes, il existe pourtant une substance capable d’alimenter les rêves les plus fous… Réservé aux seuls nantis qui gouvernent ce monde, le Plasma est la source de tout. Objet de bien des convoitises, son exploitation commerciale est assurée par le gouvernement, qui en contrôle les prix. Ayah, obscure employée de l’Office du Plasma, aspire à une meilleure situation. Mais que peut faire une simple Barkazie dans un monde régi par la nation Jaspeeri ? Jusqu’au jour où elle découvre un gisement non recensé, en quantité apparemment illimitée…

Mon commentaire :

Dans un monde ou le plasma, ressource rare et cher, permet de faire tout ce qu’il est capable d’imaginer Ayah découvre une source de plasma presque inépuisable dont la valeur est inestimable. La maîtrise de son utilisation est délicate et il peut être dangereux de s’en servir sans connaissance. Il est assez facile d’imaginer que Walter Jon Williams fasse un parallèle entre le plasma et notre pétrole. L’auteur arrive à décrire très clairement le psychisme des personnes. Pouvoir, Argent, Amour le livre parcours les grands thèmes classic autour d’une histoire captivante.

Un bon livre donc, bien rythmé même si la fin est un peu trop longue à mon gout. Les chapitres sont plutôt long ce qui oblige à avoir du temps devant soit ou couper sa lecture au cours d’un chapitre.

Identification des schémas — William Gibson

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Titre : Identification des schémas (Pattern Recognition)
Auteur : William Gibson
Traduction : Cédric Perdereau
ISBN : 2253111139 / 978-2-25-311113-9
Livre de Poche / 441 pages

Quatrième de couverture :

Consultante en design de réputation internationale, fille d’un ponte de la sécurité américaine présumé mort le 11 septembre 2001, Cayce Pollard se voit confier une mission très spéciale : trouver le créateur de mystérieux clips vidéo diffusés sur le Net. Plus que l’argent, le courant culturel underground qu’ils génèrent dans le monde entier intéresse son nouvel employeur. Mais après l’effraction de son appartement londonien, le piratage de sa messagerie et le vol des dossiers de sa psy, prise dans les mailles du marketing, de la mondialisation et de la terreur, de Londres à Tokyo et Moscou, Cayce va tenter de percer un secret aussi dérangeant et fascinant que le XXie siècle promet de l’être…

Mon commentaire :

Gibson nous plonge dans un univers ou l’héroïne, consultante en design, devient enquêtrice. Il est intéressant de noter qu’elle acceptera de retrouver l’auteur du film alors qu’elle n’a pas réussi à retrouver la trace de son père disparu lors du 11 septembre. De plus le livre tourne autour d’un film dont l’auteur parle beaucoup mais dont finalement on ignore presque tout à la fin du livre.

Un livre non déplaisant mais qui offre des moments de lenteur dans le 2nd tier du livre, heureusement la fin compense ce désagrément en ayant un rythme plus soutenue mais si elle est un peu rocambolesque ce qui la rend peu crédible.
Des marques sont cité à de nombreuses reprise en raison d’une phobie du personnage principal, c’est le cas très souvent au début du livre et vite lassant au bout de quelques pages. Certaine citation de marque aurai largement plus être evité.
L’histoire reste néanmoins original et les relations entre les personnages sont intéressantes.